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SUR LA ROUTE A DEUX - ON ROAD HAS TWO
1 mai 2015

Anecdotes marocaines

Attention aux roublards - comme partout

 

C'est arrivé à un ami

Alors qu'il descendait la cote Atlantique en camping-car il s'arrête dans une petite ville pour déjeuner d'un couscous. A la recherche d'un restaurant il est aimablement accosté par un homme présentant bien. Ce dernier l'informe qu'il ne trouvera pas de couscous dans les restaurants de la petite ville et qu'il faut aller plus loin à une quinzaine de kilomètres. L'homme, dans la conversation se dit heureux. Ce soir, il y aura une fête à la maison. Sa soeur se fiance avec un docteur. Dans la foulée, trouvant dit-il notre ami sympathique il l'invite ainsi que sa femme et des amis qui l'accompagnent à la soirée. Il donne rendez-vous à l'entrée de la ville située plus loin, le temps pour lui d'aller au garage chercher sa voiture 4X4 et il rejoint.

Une demi-heure plus tard l'homme arrive à l'endroit fixé en taxi. Son véhicule n'étant malheureusement pas prêt il a rejoint avec ce moyen pour ne pas faire attendre. Il dit avoir téléphoné à sa soeur pour lui annoncer la venue d'invités supplémentaires. Celle-ci se dit ravie de les accueillir. Après quelques minutes il explique qu'il doit aller, en vue de la fête, chercher des bouteilles de champagne à quelques kilomètres de là. L'ami lui propose de l'y emmener? Au cours du trajet l'homme (qui dit s'appeler Yacine) parle de lui et de sa famille. Il est venu spécialement au Maroc pour les fiançailles avec sa femme qui est française. Il exploite à Cavaillon des terres (appartenant à sa femme) sur lesquelles il produit de succulents melons. Aux questions qui lui sont posées sur les détails vestimentaires pour la fête du soir il répond qu'il n'y a pas de problème, des tenues locales seront prêtées ce qui ajoutera une note d'exotisme. Lors d'un arrêt il va téléphoner d'une cabine. A son retour il dit que la majorité des invités sont partis au //hammam//. Nous disposons de plus de temps que prévu devant nous.

En cours de route Yacine propose une halte dans un petit village berbère. Tout le monde est bien reçu dans le village ou des activités sont montrées (tissage, potager commun...). Les amis accompagnant ont l'impression que Yacine n'est pas connu. De plus, ce dernier se met toujours en retrait lorsque des clichés sont réalisés. Arrivé dans la petite ville ou doit être réceptionné le champagne Yacine demande à être arrêté à une centaine de mètres de la maison ou il doit aller pour précise-t-il que la transaction qui n'est pas légale soit à la demande du vendeur effectuée sans témoin. Trois ou quatre minutes plus tard il revient le visage défait. Son portefeuille à la main il explique que sa femme y a pris l'argent qu'il destinait pour son achat. L'ami, spontanément (tout à son plaisir d'assister ce soir à une fête marocaine) demande quelle est la somme nécessaire. //Yacine// sans répondre à la question s'enquiert des disponibilités que l'on peut lui offrir. L'ami, après avoir cherché dans son portefeuille et demandé à sa femme annonce 3500 dirhams. Les amis accompagnants certain qu'il s'agit d'une escroquerie ne répondent pas aux sollicitations. Mieux ils font des signes à l'ami afin de lui faire connaître leurs soupçons. Ce dernier, qui ne veut pas croire, qu'un homme présentant //si bien// serait un malfrat donne les 3500 dirhams. L'ami accompagnant propose alors à //Yacine// d'aller avec lui pour l'aider à porter les cartons de vin. Ce dernier s'offense du peu de confiance qui lui est fait. Il préfère plutôt rendre l'argent et partir à pieds. Un regard sur l'ami laisse les choses aller.

A peine Yacine a-t-il passé la porte du camping-car qu'il lui est assuré qu'il peut dire adieu aux 3500 dirhams. Un peu vexé des avertissements qui lui sont faits et se posant maintenant des questions sur la réalité de ceux-ci l'ami se met un peu en colère. Un quart d'heure plus tard, ne voyant pas revenir Yacine l'ami descend et va voir dans la direction ou celui-ci est parti. Bien sûr il ne voit rien sinon des gens qui se promènent et vaquent à leurs occupations. Il en vient à la réalité. Il s'est bel et bien fait berner. Le voyant dans la peine, sans rancune, ses amis essaient de lui remonter le moral. Son épouse, avec beaucoup de sagesse, ne lui fait aucun reproche. Yacine doit être heureux de son coup. Il a gagné deux fois le smic marocain en peu de temps...

Quelques minutes plus tard à la Gendarmerie Royale une plainte est déposée. Le signalement de Yacine (dont ce n'est certainement pas le nom) est donné. Les gendarmes donnent peu d'espoir de retrouver l'homme et les 3500 dirhams. Ils invitent l'ami à plus de prudence dans l'avenir...

Attention to the Dodgers - as everywhere
It happened to a friend
While he was the Atlantic coast to the motorhome it stops in a small town for lunch of couscous. Looking for a restaurant he is kindly accosted by a man with well. The latter informed him that he won't find a couscous in the restaurants of the town and that we must go further to 15 km. The man, in the conversation said pleased. Tonight, there will be a house party. His sister is engaged to a doctor. In the aftermath, finding he said our sympathetic friend he invited him and his wife and friends who accompany him to the evening. It gives meet at the entrance of the city situated further away, the time for him to go to the garage look for its 4 x 4 car and he joined.
Half an hour later the man arrives at the place fixed by taxi. His vehicle is unfortunately not ready it has joined with this means to not wait. He telephoned his sister to announce the arrival of additional guests. It was glad to see them. After a few minutes it says that he must go to the feast, for bottles of champagne a few kilometres away. The friend suggested he take it? During the journey the man (who is called Yacine) speaks of him and his family. He came specifically to the Morocco for the engagement with his wife who is French. It operates in Cavaillon (his wife-owned) land on which he produced succulent melons. Questions he asked about the details clothing for the evening feast he responds that he has no problem, local outfits will be loan which will add an exotic note. During a stop it will call a cab. On his return he said that the majority of guests are left to the / / hammam / /. We have more time than expected before us.
Enroute Yacine offers a stop in a small Berber village. Everyone is well received in the village or activities are shown (weaving, common garden...). Friends accompanying felt that Yacine is not known. In addition, this last is always withdrawal when snapshots are made. Arrived in the small town or must be approved champagne Yacine asks to be stopped at a few hundred metres from the House or it must go for says that the transaction which is not legal either at the request of the seller carried out without witnesses. Three or four minutes later he returns defeated face. Its portfolio in hand he explains that his wife took the money intended for his purchase. The friend, spontaneously (all to her pleasure to attend a Moroccan feast tonight) asked what the necessary sum. Yacine / / without answering the question enquired about the availability that can offer him. The friend, after having searched in its portfolio and asked his wife Announces 3500 dirhams. Friends accompanying certain it's a scam do not respond to solicitations. Better they make signs to the friend to publicize their suspicions. The latter, which does not want to believe, that a man with good cause / / would be a gangster gives the 3500 dirhams. The friend accompanying then proposed to //Yacine// to go with him to help him carry boxes of wine. The latter offense of the little confidence that it is done. He prefers instead to make money and at feet. A look at the friend lets things go.
Barely Yacine passed the door of the camper that he is assured he can say goodbye to the 3500 dirhams. A little miffed warnings that are made and now asking questions about the reality of these friend gets a little angry. A quarter of an hour later, seeing no return Yacine friend down and go in the direction or it is gone. Of course he sees nothing otherwise people who are walking around and going about their business. He comes to reality. It is indeed made berner. The light in the penalty, without rancor, his friends try to cheer him. His wife, with a lot of wisdom, does any reproach. Yacine must be happy his coup. He won twice the Moroccan smic in no time...
A few minutes later to the Royal Gendarmerie a complaint is filed. Yacine reporting (which is certainly not the name) is given. The police give little hope to find the man and the 3500 dirhams. They invite the friend to more caution in the future...

Attention au coup de la panne

Cette fois c'est à nous que c'est arrivé

En compagnie de notre ami Vincent venu nous voir à Agadir nous venons de Marrakech et allons vers Ouarzazate. A un peu plus d'une centaine de kilomètres de cette dernière ville nous voyons arrêtée sur le coté de la route une voiture (309 Peugeot). Un homme à coté nous fait signe. Est-il en panne ? A notre demande si nous pouvons l'aider il répond que sa voiture refuse de redémarrer? Pouvons-nous l'emmener à Ouarzazate ? Bernadette fait de la place auprès d'elle à l'arrière. Pendant le trajet l'homme nous dit habiter avec son frère à l'entrée de Ouarzazate. Il dit aussi que régulièrement ils vont jusqu'à Tombouctou en caravanes chamelières faire des achats. Parfois des personnes intéressées par ce genre de randonnées se joignent à eux (contre participation).

A Ouarzazate nous sommes effectivement reçus tous les trois dans une grande maison dont le premier étage est encombré de tapis. Le frère en déroule plusieurs en vantant la qualité des laines employées et le finesse du travail. Nous voyons dans cette présentation un essai de vente plus qu'un fait de courtoisie pour avoir ramené le petit frère. Après deux verres de thé à la menthe nous partons en quête d'un hôtel. Nous sommes accompagnés par l'homme que nous avons ramené et qui veut à son tour nous rendre service. Délaissant le centre ville ou dit-il les hôtels sont chers il nous emmène vers la périphérie (en direction de Zagora) ou il nous laisse dans un hôtel très moyen aux chambres assez chères. Il dit revenir dans deux heures pour nous guider vers un oasis à quelques kilomètres de Ouarzazate.

Après la visite de cet oasis qui n'a rien d'exceptionnel (sauf 16 kilomètres de piste aller et retour) nous allons à la demande de Vincent qui souffre de la gorge et qui en est aphone chez un herboriste ami de notre guide. Le praticien des plantes vend à Vincent (pour 300 dirhams) une petite fiole de liquide incolore en lui assurant qu'après en avoir pris quelques gouttes il n'aura plus qu'un souvenir de ses maux de gorge. Pour dîner, nous sommes guidés vers un restaurant ou les prix sont surréalistes (5 à 6 fois les prix habituels). Nous déclinons et disons que nous allons trouver par nos propres moyens. Ce que nous faisons moins de 30 minutes plus tard.

Cette histoire pourrait s'arrêter là si... six mois plus tard nous n'étions pas retournés à Ouarzazate avec d'autres amis. En faisant la visite du souk de la ville et en parlant de cette affaire avec un vendeur nous apprenons que la panne n'est qu'un prétexte. Elle permet d'amener dans la tanière des marchands de tapis (voleurs même s'ils ne sont pas 40) des clients étrangers potentiels. Avec nous cela n'a pas marché sauf que Vincent s'est vu délester de 300 dirhams pour un flacon qui ne contenait sans doute que de l'eau parfumée à la rose.

La cerise sur le gâteau c'est qu'en allant de Ouarzazate à Marrakech nous trouvons au même endroit la 309 Peugeot arrêtée. En regardant bien nous y reconnaissons notre homme. Près de lui un jeune berbère (sans doute un apprenti de l'arnaque). Bernadette et moi nous allons cette fois vers lui. Dans un premier temps l'homme fait semblant de ne pas nous connaître puis, fatalement, se sachant découvert prend pour excuse qu'il est trop pauvre pour être honnête.

 

Amis voyageurs, si vous passez par là et que vous voyez une voiture en panne... méfiez-vous.

 

Attention to the coup de panne
This time it is to us that it happened
Our friend Vincent come see us at Agadir we just Marrakesh and go towards Ouarzazate. A little more than a hundred kilometres from this last town we stopped on the side of the road a car (Peugeot 309). A man next door beckoned us. Is it down? At our request, if we can help him he responds that his car refused to restart? Can we take him to Ouarzazate? Bernadette makes the place with it on the back. The journey man says live with his brother at the entrance of Ouarzazate. He also says that regularly they will up to Timbuktu by camel caravans make purchases. Sometimes people interested in this kind of hiking join them (against participation).
Ouarzazate we are actually received all three in a large House whose first floor is cluttered with carpet. The brother in place many touting the quality of used wool and fine work. We see in this presentation a test sale more than a fact courtesy for carrying the little brother. After two glasses of mint tea we start looking for a hotel. We are accompanied by the man that we brought back and who wants to turn make us service. Leaving the city centre or he said hotels are expensive it takes us to the periphery (in the direction of Zagora) or it leaves us in a very average hotel quite expensive room. He said come back in two hours to guide us toward an oasis a few kilometres from Ouarzazate.
After the visit of this oasis has nothing exceptional (except 16 kilometres of track and return) we will at the request of Vincent who suffers from throat and who is voiceless in a friend herbalist in our guide. The practitioner of plants sold to Vincent (for 300 dirhams) a small vial of clear liquid by providing that there be more than a memory his sore throat after a few drops. For dinner, we are guided to a restaurant or prices are surreal (5 to 6 times the usual price). We disclaim and say that we will find our own. We do less than 30 minutes later.
This story could stop there if... six months later we were not returned in Ouarzazate with other friends. By making a visit to the souk of the city and speaking of this matter with a vendor we learn that the failure is only a pretext. It allows to bring potential foreign clients in the den of the (thieves even if they are not 40) carpet dealers. With us it did not work except that Vincent has been offloaded 300 dirhams for a bottle which contained no doubt water scented with rose.
The icing on the cake is that ranging from Ouarzazate in Marrakech we find in the same place the 309 arrested Peugeot. Looking good we recognize our man. Next to him a young Berber (probably an apprentice of the scam). Bernadette and me we will this time towards him. First man made pretend to not know us and then, fatally, knowing discovered takes to excuse that he is too poor to be honest.
Passenger friends, if you go there and you see a car crash... beware.

VIE COURANTE AU MAROC

Accueil des populations

La population marocaine est dans son ensemble très accueillante.

L'approche est différente selon l'endroit ou l'on se trouve. Dans les zones commerciales (souks, boutiques de souvenirs, surfaces de vente plus importantes etc...), le touriste est abordé avec gentillesse et sans insistance. Se souvenir que dans ces endroits tout achat doit être négocié, cela fait partie du rituel. Hors des zones touristiques les contacts sont toujours chaleureux et empreints d'une déférence désinvolte.

Suggestion : sans être trop familier ne pas craindre le contact. Une trop grande réserve pourrait laisser une impression de mépris.

 

Dans les administrations et services officiels

Comme dans beaucoup de pays les services d'état ou officiels sont imbus de leurs prérogatives. Le travail y est fait lentement et avec beaucoup de palabres. Dans les banques, services de l'électricité, des eaux, les télécommunications, poste etc... lorsque'il n'y a pas de distributeurs de tickets de passage il est de coutume de déposer sur le comptoir derrière lequel travaillent les fonctionnaires ou préposés un document (carte d'identité, facture à régler ou tout simplement ses clés afin de marquer sa place. Ceci n'empêche pas à tous les coups les passe-droits.

Dans la plupart des administrations l'avancement d'un dossier

l peut être influencé par l'attitude du demandeur... envers le fonctionnaire//. Si un étranger mécontent, sûr de son bon droit, peut aller jusqu'à écrire au roi, un marocain de souche s'en gardera bien...

 

Dépenses

Pour se faire une idée des dépenses de la vie courant il faut résider hors des hôtels (louer une maison ou un appartement). Lors d'une location de longue durée, plus de trois mois, on constate que la vie au Maroc n'est pas chère. Si le poste budgétaire le plus élevé est le logement (entre 4500 et 8000 dirhams en fonction de la location -vide ou meublée - superficie - quartier...) le reste est très abordable. On peut citer en exemple les coûts mensuels pour - l'électricité 100 à 200 dirhams - eau 50 dirhams - alimentation une moyenne de 2000 dirhams - bouteille de gaz 13 kgs 40 dirhams - le poisson, crevettes, fruits, légumes, sont à des prix ridiculement bas (pour nous). Les boissons alcoolisées bien que chères ne le sont pas davantage qu'en France mais les vins marocains s'ils ne sont pas mauvais sont loin de valoir en qualité et en goût les vins français.

Les bons restaurants sont dans l'ensemble rares. La cuisine est sans grande recherche et les plats traditionnels (couscous, tajines, poissons) manquent souvent de présentation. Les personnels sans formation manquent de style, tant dans leur tenue que dans le service. Ils se rachètent par leur gentillesse.

 

Météo

Avec plus de 300 jours de soleil par an (les deux plus mauvais mois sont juillet et août, brumeux et gris) Agadir présente tous les avantages.

 

LIFE RUNNING IN MOROCCO
Home of the populations
The Moroccan population is very welcoming whole.
The approach is different depending on the location or there is. In commercial areas (souks, souvenir shops, sales floor more important etc...), the tourist is approached with kindness and without emphasis. Remember that in these places all purchases must be negotiated, this is part of the ritual. Outside the tourist areas contacts are always warm and marked by a casual deference.
Suggestion: without being too familiar fear not the contact. Too much reserve may leave an impression of contempt.
In the administrations and official services
As in many countries the services of State or official are imbued with their prerogatives. The work is done slowly and with a lot of palaver. In banking, electricity, water, telecommunications, post etc... When ' there are no distributors of tickets of passage it is customary to submit a document on the counter behind which work the officials or servants (map identity, invoice to adjust or simply his keys to mark his place. This does not prevent preferential treatment every time.
In most jurisdictions the progress of a folder
l can be influenced by the attitude of the applicant... towards the official. If a disgruntled stranger, unsure of its good right, can go up to write to the King, a Moroccan strain is will keep well...
Expenditure
Get an idea of the life expenses common to reside outside the hotels (rent a house or an apartment). During a long term rental, over three months, there is life in the Morocco is not expensive. If the highest budgetary position is the housing (between 4500 and 8000 dirhams depending on rental - furnished or empty - area - neighborhood...) the rest is very affordable. You can cite as an example the monthly costs for - electricity 100 to 200 dirhams - water 50 dirhams - food one average 2000 dirhams - gas cylinder 13 kgs 40 dirhams - fish, shrimps, fruit, vegetable, are at ridiculously low prices (for us). Although expensive liquor are not more in France but the Moroccan wines are not bad are far from out in quality and taste the french wines.
Good restaurants are generally rare. The kitchen is without great looking and traditional cuisine (couscous, tagines, fish) often lack presentation. Untrained personnel lack style, both in their dress in the service. They redeem themselves by their kindness.
Weather
With over 300 days of sunshine per year (the two worst months are July and August, misty and gray) Agadir has all the advantages.

 

 

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