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SUR LA ROUTE A DEUX - ON ROAD HAS TWO
1 mai 2015

Petit tour au Maroc

Longueur des formalités et patience éprouvée

Moins de 40 minutes ont effectivement suffis pour toucher le continent africain. Là commence la ronde des fonctionnaires de police et de douane. Leur gentillesse n'est pas mise à défaut mais l'organisation est un modèle de lenteur et tractations tout d'abord c'est un individu portant un blouson au dos duquel sont mentionnées en arabe et en français écrivain public. Cet homme est censé nous faciliter les formalités. En fait, il courre d'un véhicule à l'autre essayant d'en faire un maximum par rapport à ses collègues. Après avoir rempli un formulaire d'après les éléments portés sur la carte grise du véhicule il nous rapporte le document. Ce faisant il sollicite une rémunération pour son travail. Comme à notre habitude (bien que nous avons vu la majorité des propriétaires de véhicule donner un ou deux billets) nous lui faisons part de notre désolation de ne pouvoir accéder à sa demande lui disant que ce travail ne lui a pas été demandé par nous mais imposé et qu'il doit demander à son employeur l'état, de le payer. Il rétorque qu'il est indépendant.. Nous restons sur notre position et il s'en va mécontent et bougonnant. La ronde continue par le ballet de deux douaniers, lesquels au lieu d'inviter les voyageurs à se présenter à un guichet font à leur tour un passage auprès des véhicules récupérant le document précédemment rempli. Une certaine pagaille est observée. Enfin après de longues et interminables dizaines de minutes nous voici possesseur de notre document d'entrée au Maroc pour notre Land Rover Defender. Nous avons traversé le Détroit de Gibraltar en moins de 40 minutes mais nous sommes restés plus de 75 pour avoir un papier.

Length of the formalities and proven patience
Less than 40 minutes have actually enough to touch the African continent. There begins the round of police and customs officials. Their kindness is put in default but organization is a model of slow and negotiations at the outset is an individual wearing a jacket on the back of which are mentioned in Arabic and french public writer. This man is supposed to facilitate the formalities. In fact, it runs from one vehicle to the other trying to make up from colleagues. After filling out a form based on the worn gray map of the vehicle it tells us the document. In so doing he seeks compensation for his work. As to our usual (although we have seen the majority of vehicle owners give one or two tickets) we make it part of our desolation unable to accede to his request it saying that this work has not been asked by us but imposed and shall ask his State employer to pay. He retorts that it is independent... We remain on our position and it goes away unhappy and taught. The round continues by the ballet of two customs officers, which instead of inviting travellers to come to a stop in turn a passage to vehicles retrieving previously completed document. A certain mess is observed. Finally after long and endless tens of minutes we are owner of our input document to the Morocco for our Land Rover Defender. We crossed the Strait of Gibraltar in less than 40 minutes but we stayed more than 75 to have a paper.

 

La descente vers Agadir

Comme il est maintenant plus de minuit nous ne cherchons pas le camping de Tanger. Nous sommes presque persuadés qu'à cette heure il est fermé et nous n'avons pas la certitude de le trouver. Nous prenons donc, la direction de Rabat, sous la pluie.

Les villes d'Assilah, Rabat, se passent sans difficulté bien que la signalisation soit pratiquement inexistante. A Casablanca nous perdons du temps et notre chemin. Grâce à un veilleur de nuit d'une usine nous retrouvons enfin notre route. Fatigués et à cours de carburant nous décidons de nous arrêter dans une rue peu passante pour dormir un peu. Lorsque nous nous réveillons le jour commence à poindre et les stations s'ouvrent. Un retrait de dirhams à une guichet automatique nous ouvre les possibilités de remplir le réservoir et de prendre un petit déjeuner. C'est toujours sous la pluie, plus ou moins violente, que nous continuons. El jadidah, Oualidia et la pluie s'arrête. Les violences des précipitations ont gorgé les terrains d'eau et de nombreuses routes sont coupées par des torrents boueux qui cherchent par les pentes successives de rejoindre les oueds. Avec le Land Rover nous n'éprouvons pas de difficulté, contrairement aux voitures de tourisme, à franchir ces obstacles. Un moment pourtant, entre Oualidia et Safi nous nous risquons sur une route couverte de 30 à 40 centimètres alors qu'une fourgonnette est arrêtée, moteur noyé, au milieu de la chaussée. Le peu de bitume restant de part et d'autre de la fourgonnette nous oblige à rouler avec les deux roues gauches sur le bas coté, qui compte tenu de l'eau et de la boue, nous amène à un patinage en règle. Pour sortir de ce guêpier nous devons notre salut qu'à la petite vitesse enclenchée et ce en marche arrière uniquement. Nos roues retrouvant de la fermeté nous faisons demi-tour. Des gendarmes, théoriquement là pour empêcher le passage nous regardent passer, en ricanant, visiblement ravis de notre mésaventure. Les 30 kilomètres faits sur cette route, qui devait nous raccourcir, sont refaits à l'envers jusqu'à la bifurcation menant à Safi par la cote.

The descent to Agadir
As it is now after midnight we do not seek the campsite of Tangier. We almost believe that at this time it is closed and we are not confident to find. Therefore, we take the direction of Rabat, in the rain.
The cities of Assilah, Rabat, happen without difficulty although signage is virtually non-existent. Casablanca we lose time and our way. Thanks to an a factory night watchman we finally find our way. Tired and in course of fuel we decide to stop in a little busy to sleep a little street. When we awoke the day begins to dawn and stations open. A withdrawal of dirhams from an ATM opens opportunities to fill the tank and a breakfast. It is always under the rain, more or less violent, we continue. El jadidah, Oualidia and rain stops. The violence of precipitation have waterlogged land of water and many roads are cut by muddy torrents seeking by the slopes of join the wadis. With the Land Rover we have no difficulty, unlike passenger cars, to overcome these obstacles. A time yet, between Oualidia and Safi we we risk on a road covered with 30 to 40 centimetres so that a van stopped flooded engine, in the middle of the road. The bit of bitumen remaining part and another of the van we forced to ride with the two left wheels on the side bottom, taking into account the water and mud, brings us to a rule skating. To exit this Bee-eater we need our salvation at the small latched speed and this in reverse only. Our wheels found the firmness we make u-turn. Constable, theoretically there to prevent the passage are watching us pass, sneering, visibly delighted our mishap. The 30 kilometres made on this road, which was US shorten are redone upside until the junction leading to Safi by the coast.

 

Boues et glissades assurées

Entre Safi et Essaouira*nous avons de nombreuses plaques de boue ayant glissées des terrains jusque sur la route. Nous devons y faire attention ainsi qu'au flaques d'eau énormes qui s'étalent sur la chaussée. La hauteur de notre véhicule et ses 4 roues motrices nous font franchir ces obstacles sans peine (ce qui n'est pas le cas des voitures légères, qui patinent et doivent être poussées par leurs occupants ou aidés par des habitants tout proche). La route Essaouira - Agadir est parfois quant à elle transformée en patinoire de quelques mètres à parfois plusieurs décamètres. Cette route que nous connaissons très bien pour l'avoir empruntée de nombreuses fois nous surprend. Ce qui nous surprend le plus c'est le manque de réaction des autorités pour faire revenir à une circulation normale. Nous comprenons très vite que le temps et le soleil nettoiera les routes et que les oueds actuellement en crues redeviendront à sec.

Sludge and insured slides
Between Safi and Essaouira * we have in many patches of mud have dragged land onto the road. We are pay attention as well as to the enormous puddles that are spread out on the floor. The height of our vehicle and its four-wheel drive make us overcome these obstacles without penalty (which is not the case of small cars, which have been skating and must be driven by their occupants or assisted by nearby residents). The Essaouira road - Agadir is sometimes transformed into a skating rink a few metres to sometimes several decametres. This road we know very well for him have borrowed many times surprises. What surprises us most is the lack of reaction of the authorities to return to a normal circulation. We quickly understand that time and the Sun clean roads and wadis currently in flood to become dry.

 

Retrouvailles

C'est avec une émotion non dissimulée que nous arrivons chez nos chers amis Janine Viel et Jacques Duménil.  L'accueil y est chaleureux et le bonheur est partagé. Il s'ensuit une soirée riche en souvenirs et en projets.

Dans la semaine qui suit Noël nous nous promenons plusieurs fois en ville où nous reconnaissons les endroits où nous nous sommes souvent promenés. La Marina d'Agadir encore en travaux lorsque nous sommes partis est maintenant ouverte au public. Nous y allons pour satisfaire notre curiosité. Nous trouvons l'endroit agréable bien que peu de bateaux soient attachés aux anneaux.. Nous pensons qu'avec le temps les places seront un jour comptées.

Reunion
It is with undisguised emotion that we arrive at our dear friends Janine Viel and Jacques Duménil. The welcome is warm and the happiness is shared. It follows an evening rich in memories and projects.
In the week following Christmas we walk several times in the city where we recognize the places where we often walked. The Agadir Marina still under construction when we left is now open to the public. We go there to satisfy our curiosity. We find the nice place well that few vessels attached to the rings... We believe that with time the places will one day be counted

Maroc 2007 54

 

L'année 2007 est morte. Vive l'année 2008

Nous fêtons l'agonie de l'année 2007 avec nos amis Janine et Jacques dégustant foie gras et autres mets délicieux. A 23 heures du Maroc nous recevons sur notre téléphone portable de nombreux voeux de ceux qui se trouvent sous d'autres latitudes. Une heure doit encore s'écouler avant que nous fêtions à notre tour l'année nouvelle.

Le lendemain nous recommençons nos libations avec d'autres français résidents au Maroc. Le soir nos estomacs chargés refusent de recevoir davantage (sauf Janine qui savoure une soupe harira qui semble excellente) mais c'est encore à plus de minuit que nous nous disons bonne nuit.

 

Déçus

Le 04 janvier nous apprenons que le Rallye Dakar est annulé. Nous avions prévu avec des français résidant à Agadir et sa région d'aller faire un tour sur le circuit dans le sud marocain. Nous somme déçus de cette annulation mais nous pensons aux concurrents, notamment les amateurs qui doivent l'être davantage que nous. Nous pensons même que l'avenir du Rallye est bien compromis.

05 janvier. Nous décidons en concertation avec  quelques autres couples de faire quand même notre virée. Autour d'un bon repas auquel nous ont invités Jeanne et Philippe nous programmons l'itinéraire et faisons l'inventaire des besoins. Le départ sera pour mardi 08 janvier à 08 heures.

 

Virée sur les pistes

09 janvier. Après nous être ralliés chez Philippe et Jeanne nous partons à trois véhicules 4X4. Nous prenons la direction du sud en longeant plus ou moins la cote atlantique.

 

Plaisirs, enseignements, tensions

 Plaisirs

Pendant les quatre journées que dure le raid nous avons l'occasion de voir et admirer des paysages divers. Nous passons, en effet, de la piste sablonneuse à celle où les cailloux roulent. Nous montons et descendons des pentes raides, roulons dans des oueds bordés de magnifiques dunes de sable. Nous traversons de nombreux villages où les enfants attirés par nos voitures viennent tout près en demandant qui, des bonbons, qui des vêtements ou un peu de monnaie. Si nos compagnons de route ont dormi dans des chambres d'hôtel de douars écartés de la circulation Bernadette et moi passons nos nuits au-dessus de notre Defender. Le silence nous plongent dans un sommeil de plomb. Nous apprécions aussi les haltes des déjeuners au cours desquelles nous sortons parfois tables et tabourets et grignotons, sur le pouce, tomates, grillades d'agneau, et buvons... du vin frais sorti de la glacière de Philippe.

Enseignements

Depuis l'achat du Defender nos déplacements s'étaient pratiquement toujours effectués sur route. Rouler sur pistes nous a permis de mieux connaître notre véhicule.

Placé en troisième et dernière position dans le convoi nous pouvions nous inspirer du comportement des autres conducteurs et de leurs véhicules.

Pour les franchissements sablonneux, caillouteux, humides, les premiers kilomètres sont franchis avec précautions. Ceci ayant pour effet, de nous faire distancer par nos compagnons qui à plusieurs reprises se sont arrêtés quelques minutes pour nous attendre. Les changements de vitesses répétés ont fait accuser à notre jauge de carburant une descente plus rapide que souhaité. Au cours des journées suivantes connaissant mieux les réactions du Defender notre vitesse s'est accentuée et la consommation est devenue plus raisonnable. Nous avions pour autant, par rapport aux autres participants, une charge plus importante avec notre couchage et notre coffre de toit et du matériel à l'intérieur du véhicule (ce dernier, pourtant bien assuré, sautait parfois de quelques centimètres faisant grand bruit en reprenant sa place. Par bonheur rien ne s'est cassé.

Le troisième jour, alors que nous roulions dans un oued, où des flaques d'eau stagnantes faisaient gerber l'eau de chaque coté des véhicules, une erreur de conduite nous fit nous écarter du sillage des deux 4X4 qui nous précédaient. En moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire la roue arrière droite du Defender, enfoncée dans la boue, n'était plus visible. Malgré la petite vitesse enclenchée aucun mouvement du véhicule ne pouvait se faire. Bien au contraire, le poids semblait faire son ouvrage. Sans l'aide de nos compagnons, Philippe avec son Toyota Land Cruiser qui nous tirait, le dégagement des roues à l'aide de pelles, la poussée énergique de l'ensemble de nos compagnons, nous étions condamnés à rester là. Une fois sorti, la leçon était bien comprise...

Tensions

Dix personnes constituaient les équipes. Sans que cela fut déterminé par des mots les groupes se sont formés dès le départ par affinités.

Dans le premier véhicule Jeanne et Philippe auxquels s'est jointe par sympathie Janine afin qu'ils ne fussent pas seuls. Devant nous, avec son Mitsubishi Pajéro Jean-Jacques, son épouse Nicole puis Christian et Dominique deux restaurateurs de Dinard en vacances pour trois semaines au Maroc. Se trouvait, avec nous, notre ami Jacques.

Certains des participants de forte personnalité, qui à l'évidence ont l'habitude de se mettre en valeur, (réelle ou supposée), prenaient plus de place qu'ils auraient dû pour qu'une ambiance sereine soit constante. Ce qui pouvait amuser au début est devenu au bout du compte parfois déplaisant.

Écoutez-moi

L'un d'entre nous, qui se reconnaîtra et qui sera sans aucun doute reconnu à la lecture de ces lignes, s'est voulu le centre du groupe. Seul sa parole semblait devoir être entendue. Toutes histoires, boutades, voire plaisanteries (parfois de mauvais goût) étaient ponctuées d'écoutez-moi afin que l'assistance prête une oreille attentive... Par ailleurs, son manque de tact et d'éducation, tant à table (où il se servait sans parcimonie) que dans ses propos (toutes les personnes côtoyées lors de sa vie professionnelle ou dans la vie de tous les jours sont apparues comme des minables, dont il a semble-t-il su profiter). Lors de ses fanfaronnades nous constations que son épouse (qui semble mériter la plus grande estime) si elle ne confirmait pas se retenait parfois de dénier toute vérité aux propos tenus.

Un autre individu nous a aussi quelque peu dépités. Son comportement du début, tout en rondeur comme sa personne, s'est vite tourné vers l'aigreur, l'homme semblant en vouloir à l'humanité (mais surtout à la gent féminine). Des jugements à l'emporte-pièce, exprimés de façon très virulente, ont laissé le dernier soir une impression désagréable. Par ailleurs, son comportement (de cireur de bottes) vis à vis du précédent personnage était à la limite du ridicule.

En conclusion, sur le plan relationnel, il aura fallu aux autres membres de l'expédition de la patience mêlée d'indifférence pour que ces quatre journées se passent le mieux du monde. Il ne semble pas inutile d'ajouter que les boutades de notre ami Jacques ont souvent permis de détendre l'ambiance. Son coté bouffon nous a fait découvrir un homme, observateur, intelligent, empreint de sagesse. Nous lui laissons le bénéfice de la réussite de l'expédition sur le plan humain. Merci Jacques

The year 2007 is dead. Long live the year 2008
We are celebrating the agony of the year 2007 with our friends Janine and Jacques with foie gras and other delicious dishes. 23 hours from the Morocco we receive on our cell phone of many wishes of those who find themselves in other latitudes. A time must yet elapse before we celebrated the new year in our turn.
The next day we start again our libations with other french residents in the Morocco. The evening our loaded stomachs refused to receive more (except Janine that savors a harira soup which seems excellent) but it's still more than midnight that we say good night.
Disappointed
On 04 January we learn that the Dakar rally is canceled. We had planned with french resident in Agadir and its area to go for a walk on the circuit in southern Morocco. We are disappointed by the cancellation but we believe competitors, including lovers who must be more than we. We even believe that the future of the rally is well compromise.
05 January. We decide together with a few other couples still do our spree. A hearty meal which we have invited Jeanne and Philippe we plan the itinerary and make the inventory of needs. The departure will be Tuesday, January 08 at 08 hours.
Spree on the slopes
09 January. After us be rallied at Philippe and Jeanne we leave three 4 x 4 vehicles. We take the direction of South along more or less the Atlantic coast.
Pleasures, teachings, tensions
Pleasures
During the four days that last raid we have the opportunity to see and admire various landscapes. Indeed, we move from the sandy track to that where the stones roll. We climb and descend steep slopes, drive in lined wadis of magnificent sand dunes. We are experiencing many villages where children attracted by our cars come close by asking that, sweets, clothing or a little money. If our companions slept in douars discarded traffic Bernadette hotel rooms and me spend our nights above our Defender. Silence plunge us into a sleep of lead. We also appreciate the halts of luncheons during which we sometimes leave tables and stools and nibble on the thumb, tomatoes, grilled lamb, and... drink fresh wine out of the cooler of Philippe.
Lessons
Since the purchase of the Defender our movements were almost always performed on road. Ride on tracks allowed us to learn more about our vehicle.
Place in the third and final position in the convoy we could draw on the behavior of other drivers and their vehicles.
For Sandy, pebbly, wetland crossings, the first kilometres are crossed carefully. This effect of we do behind our companions who repeatedly stopped a few minutes to wait for us. Repeated changes in speeds did accuse our fuel gauge a faster descent than desired. During the following days knowing better the reactions of the Defender our speed has increased and consumption has become more reasonable. We had so far, compared to the other participants, a greater burden with our chest and our sleeping roof and equipment inside the vehicle (this last, yet well insured, sometimes jumped a few inches making big noise taking his place.) Fortunately nothing is broke.
The third day, while we were driving in a Wadi, where stagnant pools of water were gerber water from each side of the vehicle, a driving error made us move away from the wake of two 4 x 4 preceding us. In less time than it takes to write it the right rear wheel of the Defender, pressed in the mud, was most visible. Despite the small latched speed no motion of the vehicle could not be done. On the contrary, weight seemed to do his work. Without the help of our companions, Philippe with his Toyota Land Cruiser that fired us, disengagement of the wheels using shovels, the energetic boost of all of our companions, we were condemned to stay there. Once released, the lesson was well understood...
Tensions
Ten people were teams. Although this was determined by words groups formed from the outset by affinities.
In the first vehicle Jeanne and Philippe which had been joined by Janine sympathy so that they were not alone. Before us, with his Mitsubishi Pajero Jean-Jacques, his wife Nicole then Christian and two Dominique restaurants Dinard on holiday for three weeks at the Morocco. Was with us, our friend Jacques.
Some of the participants of strong personality, who obviously have the habit to value, (real or supposed), took place that they should have to be a serene constant. What was fun at the beginning became the sometimes unpleasant end.
Listen to me
One of us, which recognize and which will no doubt be recognized to reading these lines, wanted the center of the group. Only his word seemed to be heard. All stories, witty, and even jokes (sometimes in bad taste) were pitted in listen to me so that assistance lends an ear... Moreover, his lack of tact and education, both table (where he used without parsimony) than in his words (all those wry in his professional life or in the life of every day emerged as the seedy, he apparently taken advantage). During his bluster we saw that his wife (who seems to deserve the greatest esteem) if it confirmed not was sometimes kept to deny truth remarks.
Another individual us has also somewhat dépités. His behavior from the beginning, well-rounded as a person, quickly turned to sourness, the man appearing to blame humanity (but especially women). Judgments to the punch, expressed in highly virulent way, have left the last night an unpleasant impression. Moreover, its behavior (from shine boots) vis-à-vis the previous character was at the limit of the ridiculous.
In conclusion, in relational terms, it took to the other members of the expedition of patience mingled with indifference so that these four days go the better world. It seems not unnecessary to add that our friend Jacques witty often helped to relax the atmosphere. His side jester made us discover a man, observant, intelligent, wisdom. We leave him the benefit of the success of the expedition on the human level. Thanks Jacques

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Maroc 2008 5

Maroc 2008 11

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