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SUR LA ROUTE A DEUX - ON ROAD HAS TWO
1 mai 2015

De Menton à Pise

Le temps est au plus beau. Nous quittons Roquebrune Cap Martin en direction de l'Italie. Les postes frontières sont fermés et désertés des services des douanes. La route est libre. Le sol français quitté notre voyage commence vraiment.

Les routes italiennes sont signalées déformées. Nous pensons qu'elles sont défoncées. La remorque fait parfois des bonds ou tombe dans des trous ce qui nous laisse craindre une rupture de renfort de flèche ou une roue abîmée. A Vintimille, la première ville, nous mangeons des sandwiches, assis sur un banc, à l'ombre de grands arbres. Nous repartons sous le soleil qui nous écrase comme s'il était de plomb. A San Remo le camping est à 24 €. Nous continuons plus loin pour en trouver un à 19 €. Nous sommes si fatigués que nous mangeons que le tiers de pâtes fraîches achetées. Notre consolation c'est d'avoir trouvé la Costa Brava sans urbanisation galopante, plus belle que la Côte d'Azur.

A Impéria, nous rencontrons un jeune français qui fait aussi un tour à vélo. Parisien il fait le nord de l'Italie puis il ira en Pologne et en Turquie. Il demande s'il peut faire un bout de chemin avec nous. Ensemble nous allons à Gênes.

Gênes (Genova) est une ville industrieuse tout en longueur. C'est aussi un grand port. A part le centre, ou se trouvent de beaux immeubles, le reste de la ville est d'aspect commun et sale. Nous ne nous y attardons pas.

Les jours suivants nous trouvons des campings aux prix toujours élevés mais lorsque la fatigue nous gagne (nous sommes en permanence en zone montagneuse),nous payons le prix demandé. Les emplacements sont à peine suffisants pour planter la tente. Lors des réclamations on nous fait clairement comprendre que l'on peut aller voir ailleurs.

A Sarzama, sur la cote Ligure, alors que nous sortons du camping la  roue libre, usée, nous fait des caprices. La chaîne glisse entre les pignons. Nous prenons quand même la route. Nous avons la chance de trouver à cinq kilomètres un vendeur réparateur de cycles. Après un peu d'attente les pignons sont changés. Nous n'aurions sans doute pas pu aller bien loin.

La route est presque plate. Ce serait agréable sans la saleté dans les villes, les détritus sur les bords de route et dans les fossés. Dans une foret, avant d'arriver à Pise, des ouvrières (ou des esclaves) du sexe, en tenue sans équivoque, attendent les clients pour aller les soulager sous les frondaisons.

Pise

Un camping surpeuplé mais assez bien tenu se trouve près des sites à visiter. Nous remettons à demain matin la visite des bâtiments.

Hier au soir, de  loin, l'ensemble des bâtiments nous semblait petit. Sur place nous sommes surpris par la grandeur du lieu. Outre la Tour Penchée, qui est le clocher de la basilique, se trouvent d'autres bâtisses. Les visiteurs sont nombreux. Nous restons plus de deux heures sur place avant de prendre la route en direction de Florence.

 

THE BOOT FROM TOP TO BOTTOM.

From Menton to Pise.

Time is the most beautiful. We leave Roquebrune Cap Martin in the direction of the Italy. The border crossings are closed and deserted of police and customs services. The road is free. Left French soil our journey really begins.

The Italian roads reported deformed. We believe that they are rutted. The trailer is sometimes leaps or falls into holes which let us fear a rupture of reinforcement of arrow or a damaged wheel. At Ventimiglia, the first city, we eat sandwiches, sitting on a bench in the shade of large trees. We leave under the Sun that crushes us as if it were lead. San Remo camping is €24. We continue further to find one at €19. We are so tired that we eat only one-third of purchased fresh pasta. Our consolation is found the Costa Brava without urbanization rampant, more beautiful than the Côte d'Azur.

At Imperia, we meet a young French who also does a tour by bike. Parisian, he made the Italy North then it will go in Poland and Turkey. He asks if he can go a long way with us. Together we will in Genoa.

Genoa (Geneva) is a town and industrious all in length. It is also a major port. Apart from the center, where the most beautiful buildings, the rest of the city is common appearance and dirty. Is let's not.

The following days we find campsites always as high priced but when fatigue wins us (we are permanently in mountainous area), we pay the asking price. The pitches are barely sufficient to plant the tent canvas. When claims are we clearly understand that can go elsewhere.

Sarzama, on the Ligurian coast, while we leave the campsite, the Freewheel, worn out, we made whims. The chain slips between gears. We still take the road. We have the chance to find five kilometers a restful seller of cycles. After a little wait the gears are changed. We could probably not have gone very far.

The road is almost flat. It would be nice without the dirt in the cities, the rubbish on the roadsides and ditches. In a forest, before arriving at Pisa, of the workers (or slave) sex, uniformed unequivocally, await guests to go relieve them under the foliage.

 Pisa.

A crowded but pretty well kept campground is located not far from the sites to visit. We give tomorrow morning visit to the buildings.

Yesterday in the evening, by far all the buildings seemed small. On the spot we are surprised by the size of the place. In addition to the leaning tower, which is the Bell Tower of the Basilica, are other buildings. Visitors are many. We remain more than two hours on the spot before you hit the road in the direction of Florence.

 

Frontière Franco-italienne - Nadette

 

 

Gênes Italie

Gênes dans le centre ville Genes in the city centre

 

Gênes Italie - Réplique de galion le Pirate des Caraïbes

Gênes réplique du galion du film Le Pirate des Caraïbes Genes replica of the Galleon of the film the Pirate of the Caribbean

 

 

 

pisa

Pise la Basilique et sa tour penchée Pisa the Basilica and its leaning tower

 

 

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