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SUR LA ROUTE A DEUX - ON ROAD HAS TWO
1 mai 2015

Inde 5 suite

Noël

Nous avons prévu de passer Noël avec Fabian et Diane avant de partir de Goa. Pour l'occasion les parents de Diane sont venus en Inde. C'est donc à six que nous réveillonnons chez Kévin et Andrew. Le repas est agréable et les vins du Maharashtra font frétiller nos papilles. Andrew offre le Brandy. Vers 2 heures du matin lorsque nous quittons le restaurant il y a bien longtemps que les derniers autres clients sont partis.

Christmas
We planned to spend Christmas with Fabian and Diane prior to departing from Goa. For the occasion the parents of Diane came to India. Therefore six that we réveillonnons at Kevin and Andrew. The meal is nice and the wines of Maharashtra are distinctly our taste buds. Andrew offers the Brandy. Around 2 o'clock in the morning when we leave the restaurant there are long past other customers are gone.

Calangute - Noël 2003

Calangute - Noël 2003 avec Fabian, Diane et les parents de celle-ci Calangute - Christmas 2003 with Fabian, Diane and her parents

 

Où Bernadette se prend pour un oiseau

Depuis notre arrivée à Calangute nous voyons des parachutes ascensionnels tirés par des bateaux faire des aller et retour au large de la plage principale. J'en offre un tour en cadeau de Noël à Bernadette.  C'est un souvenir que nous n'aurons pas de difficulté à caser dans nos bagages.

Les rotations se font rapidement, aussi prépare-t-on les clients à l'avance. Pendant l'attente Bernadette est sereine. A peine accrochée c'est le départ. Comme elle est néophyte elle est accompagnée. Fabian et moi immortalisons l'évènement. Le bateau tracteur prenant rapidement de la vitesse elle est rapidement dans les airs. Bientôt avec son accompagnateur ils ne sont plus que deux points sous la corolle qui glisse au-dessus de la mer. Sur le retour Bernadette nous fait de grands signes. Elle semble très à l'aise. L'atterrissage se fait sans problème. Elle quitte les harnais en souriant. Le plaisir se voit sur son visage. Elle dit déjà qu'à la première occasion elle planera encore avec joie.

Where Bernadette is taken to a bird
Since our arrival in Calangute we see ascending parachutes fired by ships do go and back off from the main beach. I offer a round Christmas gift to Bernadette. It is a reminder that we have no fix to cram in our luggage.
Rotations are done quickly, also preparing clients in advance. While waiting Bernadette is serene. Just hooked it's off. As neophyte she is accompanied. Fabian and I perpetuate the event. The towing vessel taking fast speed it is quickly in the air. Soon with her attendant are two points under the corolla which slides over the sea. On the return Bernadette made us great signs. She seems very uncomfortable. The landing is done without problem. She left the harness with a smile. The pleasure is seen on his face. Already, she said that at the first opportunity she serve again with joy.

Calangute - préparation de Bernadette pour le vol en parachute ascensionnel

Calangute - préparation de Bernadette pour le vol en parachute ascensionnel Calangute - preparation of Bernadette to the parasail flight

Calangute - Bernadette en vol

Calangute - Bernadette en vol Calangute - Bernadette in flight

Calangute - Bernadette à l'aterrissage

Calangute - Bernadette à l'aterrissage Calangute - Bernadette at the landing

 

 

Départ de Calangute

Ce 29 décembre est beau et ensoleillé. La température de 20° le matin ne devrait pas trop monter. Au moment de quitter Calangute je constate que la chaîne posée hier s'enfonce de trop sur les dents des pignons. Je me résous à remettre l'ancienne chaîne que j'avais déjà jetée aux ordures. Par chance celles-ci n'ont pas encore été enlevées.

Nous arrivons à Panaji pour repartir avec Diane et Fabian avec un peu de retard. Nous disons au revoir aux parents de Diane qui rejoignent l'aéroport pour rentrer en Belgique puis nous prenons la route.

La remorque de nos compagnons est petite mais un gros sac et divers objets posés dessus l'alourdissent. Comme nous sommes plus légers nous préférons les suivre pour rouler à leur rythme.

Nous avalons les kilomètres mais nous sentons assez rapidement la fatigue nous gagner. L'arrêt de trois semaines plus les trois autres à Calangute ont ramollis nos mollets. Diane et Fabian devant nous peinent aussi mais semblent en meilleure forme. A 15 heures nous arrivons à Margoa. Nous trouvons un hôtel à peu près acceptable  (et encore) sur le bord de mer. Nous n'avons pas d'eau avant vingt minutes, les serviettes sentent mauvais, les draps sont changés à la demande de Bernadette et la poussière règne en maîtresse dans la chambre. Le prix 350 roupies (6,36 €).

Au restaurant où nous dînons nous faisons changer la nappe (laquelle était tachée de gras sur toute sa surface). A notre retour à l'hôtel il y a une panne d'électricité. C'est la bougie à la main que nous gagnons nos chambres.

Departure of Calangute
This 29 December is nice and sunny. The temperature of 20 ° the morning should not too fit. When leaving Calangute I note the chain asked yesterday is sinking too on the teeth of the sprockets. Let me fix it to replace the old chain that I had already thrown in the garbage. By chance they have not yet been removed.
We arrive at Panaji to drive away with Diane and Fabian with a little delay. We say goodbye to the parents of Diane who joined the airport to return to Belgium and then we take the road.
The trailer of our companions is small but a big bag and various items placed on increase it. As we are lighter we prefer to follow them to ride at their own pace.
We swallow kilometres but we feel pretty quickly fatigue win us. The judgment of three weeks over the other three in Calangute have softened our calves. Diane and Fabian before us are also struggling but appear to be in better shape. 15 hours we arrive at Margoa. We find a pretty much acceptable hotel (and again) on the waterfront. We have no water for twenty minutes, the towels smell bad, sheets are changed at the request of Bernadette and dust reigns by Mistress in the room. Price 350 rupees (€6.36).
At the restaurant where we dine we change the water (which was stained on its surface). Upon our return to the hotel there is a power failure. It is the spark plug by hand that we win our rooms.
De la Saint Sylvestre 2003 au Jour de l'An 2004

A Canacona le jour suivant après une journée sans histoire nous trouvons tout près de la mer, dans un ensemble de maisons basses, deux petites chambres. C'est rudimentaire, propre et pas cher (200 roupies). Nous décidons de rester deux jours.

Après une journée de baignade et de repos sur la plage nous allons dîner dans un des restaurants qui bordent la plage. En cette soirée de la Saint Sylvestre nous avons au-dessus de nous, comme toit, la voûte étoilée. Nos pieds sont sur le sable encore tiède. Sur la table des bougies placées dans de grands verres pour qu'elles ne soient pas éteintes par la brise. Le repas de poissons est accompagné de vin blanc. Autour de nous des pétards commencent à fuser. A minuit, nous nous embrassons en échangeant nos voeux. L'ambiance nous est particulière. Le ciel criblé d'étoiles, la brise du large qui nous caresse les visages, les pieds dans le sable, les cocotiers dont nous devinons l'élancement vers le ciel. Loin de nos familles, de nos amis, nous avons une pensée pour eux. La jeune Diane est émue. Les flammes des bougies dansent dans l'humidité de ses yeux. Son émotion nous gagne.

Le 1er janvier après un vote à mains levées (je suis le seul à vouloir rouler) nous nous octroyons une journée supplémentaire de repos.

Nous partons à l'aube pour profiter de la fraîcheur. A la sortie du village un homme traie sa vache dans la cour de sa maison. Il lui rendra la liberté après pour la journée.

A la limite de l'Etat de Goa et de celui du Karnataka des policiers nous font un peu ralentir mais n'osent pas nous demander quoi que ce soit.

The Saint Silvester 2003 on the day of the year 2004
Canacona the next day after a day without history we find very close to the sea, in a set of low houses, two small rooms. It is rudimentary, clean, not expensive (200 rupees). We decide to stay two days.
After a day of swimming and resting on the beach we will dine in one of the restaurants that line the beach. On this evening's Eve we have above us, as roof, the starry Vault. Our feet are on the warm sand. Tabletop candles placed in tall glasses so that they are not turned off by the breeze. Fish meal is accompanied by white wine. Around us firecrackers begin to fuser. At midnight, we embrace by exchanging our wishes. The atmosphere is special to us. The sky riddled stars, Breeze off which caresses us the faces, feet in the sand, coconut trees which we guess the slenderness to the sky. Away from our families, our friends, we have a thought for them. The young Diane is moved. Candle flames dance in the moisture from his eyes. His emotion wins us.
January 1 after a vote by show of hands (I'm the one wanting to ride) we give us an extra day of rest.
We leave at dawn to enjoy the coolness. At the exit of the village a man traie his cow in the courtyard of his house. Will make it freedom after for the day.
The boundary of the State of Goa and Karnataka's police officers we are a little slow but dare not ask us anything.

Canacona - Petite plage avec ses restaurants

Canacona - petite plage agréable avec ses restaurants Canacona - small nice beach with restaurants

Canacona - préparation à la baignade ce 30 décembre

Canacona - préparation à la baignade en ce 30 décembre Canacona - preparation for swimming in 30 December

 

Il est midi lorsque nous arrivons à Karwar. La ville n'est pas bien grande bien qu'elle ait le statut de chef lieu d'arrondissement. C'est sale et laid. Sur le bord de la route principale de nombreuses boutiques sont ouvertes. Il y a peu d'hôtels. Le plus luxueux est au confort relatif. Bernadette et moi nous y prenons une chambre. Fabian et Diane au budget plus serré prennent une chambre dans un lodge rudimentaire.

Contrairement à Goa nous ne rencontrons plus d'européens (même dans les zones touristiques). La visite à l'intérieur de la ville n'efface pas la mauvaise impression de l'arrivée. En soirée nous dînons tous les quatre au restaurant de notre hôtel. Malgré les recommandations de Diane la cuisine lui est servie comme à nous, très épicée.

It is noon when we arrive at Karwar. The city is not great although it has the status of chief town of district. It is messy and ugly. On the edge of the main road shops are open. There are few hotels. The most luxurious is the relative comfort. Bernadette and me we take a room. Fabian and Diane to the tighter budget took a room in a rudimentary lodge.
Unlike Goa we encounter more Europeans (even in the tourist areas). The visit inside the city does not erase the bad impression of the arrival. In the evening we dine all four at the restaurant of our hotel. Despite the recommendations of Diane cuisine it is served as we, very spicy.
Où Fabian et Diane passent par dessus leurs guidons

Au départ malgré une belle montée tout va bien. Nous restons derrière nos compagnons pour rouler à leur vitesse. La route redescendue en plaine nous nous plaçons devant pour les entraîner dans notre roue. Lors d'une nouvelle montée nous prenons de l'avance. Au col je souhaite attendre mais à la demande de Bernadette nous nous laissons glisser doucement en serrant les freins. A nouveau dans la plaine nous sommes surpris de ne pas voir Fabian et Diane arriver. Deux ou trois voitures en nous dépassant nous klaxonnent et nous font des gestes. D'une quatrième on nous crient "your friends have an accident and the woman is injuried". En deux secondes notre tandem a fait demi-tour. A un peu plus d'un kilomètre, presque en bas de la descente, nous voyons le tandem et la remorque garés sur le coté. Fabien est debout et a les coudes rouges. Diane est allongée. Bernadette la rassure tout en examinant ses ecchymoses. Rien de grave mais un choc psychique. Nous cherchons de l'aide parmi les automobilistes. Deux hommes s'arrêtent. Après palabres ils vont chercher un docteur. Un quart d'heure plus tard ils reviennent avec un homme qui, un attaché-case à la main, prétend être docteur. Ses premiers gestes sont maladroits. Il est visiblement impressionné de toucher une européenne. Bernadette surprise de ce comportement lui demande en le regardant bien dans les yeux s'il est bien docteur. De son attaché-case l'homme sort un tissu (qui a perdu son blanc d'origine) pour éponger le sans qui s'est répandu sur le bras de Diane. L'aspect douteux du chiffon provoque chez Diane un geste de refus. Comprenant qu'il est d'aucune utilité le docteur s'en va ramené par les deux hommes qui l'ont transporté. Deux camionneurs proposent gentiment leur aide. Ils apportent leurs bandes. Nous ne les prenons pas tellement elles sont souillées par le gas-oil. Nous remercions vivement de leur amabilité. Ils nous quittent à leur tour.

Il y a plus d'une heure que la chute est arrivée lorsqu'arrive la police. Le brigadier, chef de la police d'Ankola s'est déplacé en personne. Il passe deux ou trois coups de téléphone. Arrive peu de temps après une ambulance avec un médecin (féminin) et une infirmière. L'équipement est succinct, brancard rigide, pas d'oxygène, pas de médicaments de première urgence. Un rickshaw avec plateau a été aussi réquisitionné pour transporter le tandem et la remorque de nos jeunes amis. Pour nous il reste 13 kilomètres à faire avant d'arriver à Ankola. Nous partons, les curieux aussi.

Ankola est identique aux autres villes. Elle dispose le plusieurs hôtels. Le Surya est le "must" de la ville (bien qu'il soit très moyen). Le brigadier l'a indiqué, un peu comme résidence obligée pour des européens. A son arrivée Fabian nous a réservé une chambre.

A notre arrivée nous cherchons où sont Diane et Fabian. Nous les trouvons à l'hôpital public (que tout le monde peut fréquenter à condition de pouvoir payer). Les examens ont décelé une fêlure à un bras et un plâtre lui a été posé. A notre arrivée Fabian est à régler les frais. Nous ne nous attardons pas. C'est sinistre.

Where Fabian and Diane go through top their handlebars
At the start despite a beautiful climb all goes well. We stay behind our companions to go at their speed. The road drops in plain we we place before to train in our wheel. When a new climb we take advance. At the pass I want to wait but at the request of Bernadette we let ourselves slip gently squeezing the brakes. Again in the plain we are surprised to not see Fabian and Diane arrive. Two or three cars passing us we honk and make us gestures. A fourth one shout us "your friends have an accident and the woman is injuried". In two seconds our tandem has turned. A little more than a kilometre, almost at the bottom of the descent, we see the tandem and trailer parked on the side. Fabien is standing and has red elbows. Diane is elongated. Bernadette reassures her about reviewing his bruises. Nothing serious but a psychic shock. We are seeking support among motorists. Two men stopped. After talking they will seek a doctor. A quarter of an hour later they came back with a man who, a briefcase in hand, claims to be Dr. Its first moves are awkward. He is visibly impressed to receive a European. This behavior surprise Bernadette asked looking at him in the eyes if it is well doctor. His briefcase man comes out a fabric (which has lost its original White) to mop up the free which spread on the arm of Diane. The dubious aspect of the cloth provokes Diane a gesture of refusal. Understanding that it is of no use the doctor goes brought by the two men who carried it. Two truckers kindly offer their help. They bring their bands. We do not take them so they are contaminated by diesel fuel. We thank for their friendliness. They leave us in turn.
There are more than one hour that the fall came when arrives the police. Brigadier, Chief of police of Ankola moved in person. He spends two or three phone calls. Arrives shortly after an ambulance with a (female) doctor and a nurse. Equipment is short, rigid stretcher, no oxygen, no first aid medicines. A rickshaw with plateau were also requisitioned for transporting the tandem and trailer of our young friends. For us it remains 13 kilometers to arrive at Ankola. We assume, the curious also.
Ankola is identical to other cities. It has several hotels. The Surya is the 'must' of the city (although it is very average). The brigadier has pointed out, a bit like residence for Europeans. His arrival Fabian booked us a room.
On our arrival we are where are Diane and Fabian. We find them at the public hospital (that everyone can attend provided that they can pay). Reviews have detected a crack in one arm and a cast was asked. On our arrival Fabian is to pay the costs. Let's talk does not. It is sinister.

Nouveau départ que tous les deux

Quatre jours après notre arrivée à Ankola Bernadette et moi après concertation avec Fabian et Diane décidons de continuer la route seuls. Ils nous rejoindront avec un véhicule de location lorsque Diane sera en mesure de remonter sur le tandem.

New start as both
Four days after our arrival at Ankola Bernadette and me after consultation with Fabian and Diane decide to continue the only road. They will join with a rental vehicle when Diane will be able to get back on the tandem.

 

Ankola - Mangalore

Il nous faut quatre jours pour faire les 192 kilomètres d''Ankola à Mangalore.

Les seuls tracas que nous avons eu  ont été de trouver des chambres propres et de nous restaurer correctement.

Ankola - Mangalore
It takes four days to make the 192 km d ' Ankola in Mangalore.
The only hassle we had were to find clean rooms and restore us properly.

 

 Mangalore

La ville est importante. Les hôtels sont nombreux mais pour la plupart de piètre qualité. Un récent paraît acceptable. Nous négocions le prix qui descend de moitié.

Les repas sont pris au restaurant de l'hôtel. Le service est déplorable. Deux fois sur trois Bernadette n'est pas servie  alors que j'ai terminé. Les serveurs sont d'une bêtise à faire pleurer. Lorsqu'ils vous apportent une bière ou une bouteille de vin ils demandent s'ils doivent l'ouvrir. Je réponds invariablement "it's more easy for drink". Je reçois en retour un balancement de la tête de l'indien (qui chez nous signifierait ni oui, ni non).

Dans l'après-midi Diane et Fabian nous rejoignent. Ils ont loué un 4X4 pour les transporter avec leur matériel. Le conducteur leur demande une rallonge sur le prix. Il n'a rien de plus que ce qui était prévu.

Ne trouvant rien de particulièrement intéressant à Mangalore nous décidons de reprendre la route au plus tôt. Bernadette et moi aurions souhaité descendre jusqu'au Kérala mais les trois semaines à Harihareshwar ont grevé une partie des six mois de visas valables en Inde.  Nous optons avec Diane et Fabian de prendre un train pour Pondichéry. (Diane ne se sent pas encore capable de monter sur tandem).

Les formalités à la gare de Mangalore sont longues. La ligne que nous voulons prendre est en travaux et ne rouvrira que dans... 5 ans. Une autre ligne descend plus au sud mais elle s'arrêtera à Salem. Nos tandems et la remorque voyageront dans un fourgon. Le départ est prévu pour demain soir.

13 janvier à 17 heures. Nous sommes à la gare avec les matériels. Le départ est prévu vers 20 heures (un peu avant ou un peu après).

Lorsque le train arrive nous voyons une marée humaine se diriger vers les wagons. Nos places en 1ère classe sont réservées mais pour les autres classes les places sont à ceux qui y arriveront les premiers. Les fenêtres de ces wagons sont dépourvues de vitres (et de climatisation), de solides barreaux les remplacement pour empêcher les passagers d'entrer et de sortir par ces endroits. Il est facile d'imaginer comment les secours travaillent en cas d'accident.

Pendant que Fabian, Diane et Bernadette montent avec les bagages dans la voiture où nous avons nos réservations je surveille l'embarquement des deux tandems et de la remorque. C'est une sage précaution car la façon dont les coolies chargent les matériels m'oblige à prendre les affaires en main. Sachant que de nombreux paquets seront enlevés et ajoutés entre Mangalore et Salem je ne me fais pas d'illusions.

Mangalore
The city is important. Hotels are numerous but mostly poor quality. A recent find acceptable. We are negotiating the price that goes down by half.
Meals are served at the restaurant of the hotel. The service is deplorable. Two times three Bernadette is not served while I finished. The servers are a no-brainer to make you cry. When they bring you a beer or a bottle of wine they ask if they should open it. I answer invariably "it's more easy for drink". I get in return a swing of the head of the Indian (which here would mean neither yes nor not).
In the afternoon Diane and Fabian join us. They rented a four-wheel drive vehicle to carry them with their equipment. The driver asked an extension on the price. There's nothing more than what was expected.
Finding nothing particularly interesting in Mangalore we decide to go back on the road as soon as possible. Bernadette and I would have liked to go down to Kerala but the three weeks at Harihareshwar collateral part of the six months of valid visas in India. We go with Diane and Fabian to take a train to Pondicherry. (Diane feels not yet able to mount on tandem).
Mangalore station formalities are long. The line we want to take is in the works and will reopen only in... 5 years. Another line descends more in the South but it will stop in Salem. Our tandems and trailer will travel in a van. The departure is scheduled for tomorrow night.
January 13 at 5 pm. We are at the station with the equipment. The departure is scheduled around 8 p.m. (a bit before or a bit after).
When the train arrives we see a human tide towards cars. Our seats in first class are reserved but for other classes places are those arriving there the first. The windows of these cars are devoid of windows (and air conditioning), solid bars the replacement to prevent passengers to enter and exit through these places. It is easy to imagine how the rescue work in case of accident.
While Fabian, Diane and Bernadette mount with the luggage in the car where we have our reservations I monitors boarding two tandems and trailer. It is a wise precaution because the way the coolies load devices requires me to take the business in hand. Knowing that many packages will be removed and added between Mangalore and Salem I am under no illusions.
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