Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
SUR LA ROUTE A DEUX - ON ROAD HAS TWO
1 mai 2015

CHILI du 19 mai au 17 juin 2008 - CHILE from May 19 to June 17, 2008

Chili carte générale

Aperçu du Chili

 Population : 15 116 435 habitants   Superficie : 748 800 km² (1,34 fois la superficie de la France) Densité :  20 habitants au km²  (5,80 moins qu'en France   Capitale : Santiago du Chili   Langue officielle : espagnol   Monnaie : Peso chilien, divisé en 100 centavos (1 € = 800 pesos chilien)   Régime politique : Démocratie présidentielle   Chef de l'Etat : Mme Bachelet

Overview of the Chile
Population: 116 15,435 inhabitants area: 748,800 km2 (1.34 times the size of the France) density: 20 inhabitants per square kilometre (5.80 unless France capital: Santiago of Chile official language: Spanish currency: Peso Chile, divided into 100 centavos (€1 = 800 pesos Chilean) Regime politics: democracy presidential head of State: Ms. Bachelet)

Arrivée au Chili

Le no man's land entre l'Argentine et le Chili s'étend sur 160 kilomètres. Ce n'est qu'à San Pedro de Atacama que nous trouvons les services de police et de douane.

Là, comme en Argentine il nous faut attendre un long moment, de nombreuses personnes se trouvant devant nous. Les formalités de police sont rapidement effectuées mais celles de douane, compte tenu du zèle d'une fonctionnaire sont longues. Nos bagages font l'objet d'une fouille sévère. Tous produits agricoles (fruits, légumes et produits dérivés sont interdits). Bernadette réussit tout de même à conserver après de longues palabres un fromage (genre bleu d'Auvergne) mais on nous confisque quelques pommes de terre et des oignons.

Nos formalités terminées nous envisageons de passer la nuit à San Pedro de Atacama mais la ville ne dispose pas de camping si ce n'est une aire de stationnement poussiéreuse. De plus nous n'avons pas d'argent chilien et personne ne sait nous indiquer de distributeur de billets (ou nous ne comprenons pas). La ville aux rues non asphaltées est sans attrait particulier. La moindre voiture soulève un nuage de poussière.  Nous décidons de prendre la direction de Calama une ville minière , à l'ouest, distante de 120 kilomètres environ.

Pour sortir de San Pedro de Atacama nous sommes guidés par un jeune homme à bicyclette. Quelques kilomètres après nous cherchons un endroit pour faire un camping sauvage. Quittant la route nous nous installons à quelques centaines de mètres. L'endroit est calme et la circulation ne devrait pas être très dense. Un magnifique lever de lune vient nous souhaiter la bienvenue et les millions d'étoiles criblent le ciel de leurs scintillements.

 Bien couverts nous avons passé une excellente nuit. Ce sont les rayons du soleil qui chauffant maintenant notre couchage de toit qui nous réveillent. Le petit déjeuner préparé et pris en plein désert est un vrai régal.

Arrival at the Chile
No man's land between the Argentina and the Chile stretches 160 kilometres. It was until San Pedro de Atacama we find police and customs services.
There, as in Argentina we need to wait a long time, many people in front of us. Police formalities are quickly done but those customs into account in light of the zeal of an employee are long. Our luggage subject to a severe search. All agricultural products (fruits, vegetables and derived products are forbidden). Bernadette still managed to retain after long palavers cheese (blue kind of Auvergne) but we confiscated some potatoes and onions.
Our formalities have been completed we plan to spend the night in San Pedro de Atacama but the city has no camping if a dusty parking area. Furthermore we have no Chilean money and no one knows tell us distributor of tickets (or we do not understand). Is a city in the unpaved streets without particular attraction. The lesser car raised a cloud of dust. We decide to take the direction of Calama a mining town, to the West, remote of 120 kilometres.
To get out of San Pedro de Atacama we are guided by a young man on a bicycle. A few kilometers after we seek a place to make a wilderness camping. Leaving the road we moved a few hundred meters. The place is quiet and the traffic shouldn't be very dense. A beautiful Sunrise Moon comes welcome us and millions of stars sift their flickering sky.
Well covered we spent a wonderful night. These are the rays of the Sun that heated now our roof coating that wake us up. Breakfast prepared and taken in the desert is a real treat.

 Retrouvailles

Alors que nous approchons de la route pour reprendre la direction de Calama nous apercevons un camping-car, lequel nous semble familier. Comme il ne roule pas rapidement nous le rattrapons peu de temps après. Nous reconnaissons le véhicule de Dominique et Pierre qui étaient en même temps que nous au camping de Salta. Pierre qui a reconnu dans le rétroviseur notre Defender se gare sur le bas-coté. Après quelques minutes de discussion nous décidons de faire route ensemble jusqu'à Calama.  

Reunion
As we approach road to resume the direction of Calama find a camper, which seems familiar. As it does not quickly roll it are catching up shortly after. We recognize the vehicle of Dominique and Pierre who were at the same time that we at the camping de Salta. Pierre who acknowledged in the rearview mirror our Defender station on the down-side. After a few minutes of discussion we decide to journey together to Calama.

Calama

Notre séjour à Calama se trouve réduit à moins de 24 heures. Un tour en ville après notre arrivée nous laisse une impression d'insécurité. Ce n'est sans doute pas la faute des habitants mais certaines mines patibulaires nous font serrer nos sacs au plus près de nous. L'environnement n'est par ailleurs pas très agréable.

Une mine de cuivre (à ciel ouvert) située non loin est à l'évidence le poumon économique de la ville. Elle peut être visitée mais nous ne trouvons pas d'intérêt à aller respirer plus de poussière qu'il n'y en a déjà dans l'air.

Avec Dominique et Pierre nous nous dirigeons vers le Pacifique et la ville de Tocopilla...

Calama
Our stay at Calama is reduced to less than 24 hours. A tour in the city after our arrival leaves us an impression of insecurity. This is probably not the fault of the inhabitants but some sinister mines make us tighten our bags close to us. Furthermore, the environment is not very pleasant.
A mine of copper (opencast) located nearby is clearly the economic lung of the city. It can be visited, but we find no interest in go to breathe more dust that there is already in the air.
With Dominique and Pierre we move towards the Pacific and the city of Tocopilla...

Tocopilla

Après plus de 160 kilomètres (totalement désertiques) sur les hauts plateaux andins et les montagnes venant se jeter jusque dans le Pacifique nous abordons les faubourgs de Tocopilla qui est un port. L'essentiel de l'habitat est fait de maisons en tôle. Les abords de la ville sont envahis de détritus. Ce n'est pas là encore que nous aller rester en villégiature. Nous continuons notre route vers le nord en direction de Iquiqué une station balnéaire nouvelle.

Tocopilla

After more than 160 kilometres (totally desert) on the Andean high plateaus and mountains from flowing into the Pacific we approach the outskirts of Tocopilla which is a port. Most of the habitat is made of sheet metal houses. The outskirts of the city are flooded with rubbish. It is not that we go stay in vacationing. We continue our route to the North in the direction of Iquique a new resort.

 

 Iquiqué

Iquiqué étant distante de plus de 230 kilomètres de Tocopilla nous décidons tous les quatre de trouver un endroit où nous arrêter au bord de l'océan. Une vingtaine de kilomètres après Tocopilla nous trouvons un endroit un peu abrité du vent par des rochers mais disposant d'un peu de sable. Nos réserves effectuées avant notre départ de Calama nous permettent de tenir deux à trois jours. Notre environnement se limite au Pacifique et à la montagne toute proche, laquelle est totalement aride. Nos voisins sont des vautours à tête rouge et des dauphins qui folâtrent au large des rochers.

Notre première nuit se passe dans le calme. Nous n'avons pas envie de repartir tout de suite. Les journées sont belles et les nuits douces. Sur la route le jour il passe des camions mais nous les entendons à peine et la nuit le trafic est quasi nul. La deuxième journée passe vite malgré le peu de choses que nous avons à faire.

Les 205 kilomètres qu'il nous reste à faire pour atteindre Iquique sont quelque peu monotones compte tenu du manque de changement de paysage. C'est, en effet, toujours zone désertique.

Avant Iquique nous repérons un camping mais nous allons faire des achats, nos provisions s'étant réduites pendant notre halte. De retour au camping nous nous trouvons non loin de la mer. De temps à autre des cris (presque humains) nous arrivent aux oreilles. Ce sont des éléphants de mer qui sur des rochers à quelques dizaines de mètres de la cote, soit se chamaillent ou jouent.

Iquique est une ville en pleine expansion. De loin on aperçoit de hauts immeubles construits entre la montagne de sable et la mer. Une partie plus ancienne commence à avoir un certain charme avec ses promenades et ses palmiers. Un port d'activité moyenne et une base de la Marine Chilienne donnent un peu d'importance à la ville. Au-delà, vers le nord des quartiers populaires et marchands sont assez vivants. Sans doute Iquique est-elle appelée à connaître un certain essor. 

Notre halte à Iquique se prolonge de deux jours car nous voulons aller dans une zone franche pour y voir ce qui s'y vend. Fermée le dimanche nous attendons donc le lundi. Nous y passons plusieurs heures mais sans rien y acheter de significatif.

Demain sans doute prendrons-nous la route vers Arica, tout au nord du Chili.

Iquique
Iquique is remote more than 230 kilometres from Tocopilla we decide all four to find a place where we stop at the edge of the ocean. Twenty kilometres after Tocopilla we find somewhere a little sheltered from the wind by rocks but with a bit of sand. Our reservations made prior to our departure from Calama allow us to take two to three days. Our environment is limited to the Pacific and the nearby mountain, which is totally arid. Our neighbours are red-headed vultures and dolphins that sport off the coast of rocks.
Our first night is spent in the calm. We do not want to leave immediately. The days are beautiful and soft nights. On the road the day it passes trucks but we barely hear them and night traffic is almost zero. The second day passes quickly despite the few things we have to do.
The 205 kilometres we have to do to reach Iquique are somewhat monotonous given the lack of change of scenery. It is, indeed, still desert area.
Before Iquique we spot a camping but we will make purchases, our provisions are being reduced during our stop. Back at the campsite we are not far from the sea. From time to time (almost human) Cree we arrive at the ears. These are sea elephants who rocks a few tens of metres from the coast, either bicker or play.
Iquique is a city in full expansion. From afar we see high buildings built between the mountain of sand and the sea. An older part begins to have a certain charm with its walks and palms. A port of average activity and a base of the Chilean Navy give a little of importance to the city. Beyond, to the North of the popular and commercial districts are quite alive. Iquique is likely to know a certain growth.
Our stop at Iquique extends two days because we want to go in a free zone to see what sells. Closed on Sunday so we are Monday. We spend several hours but without buying anything meaningful.
Tomorrow no doubt we take the road towards Arica, North of the Chile.

Chili 2008 2

Arica

Arica dernière ville Chilienne avant la frontière avec le Pérou est elle aussi entourée du désert d'Atacama.  Son centre est constitué de services administratifs et de magasins. Tout autour, comme les autres villes du nord ce ne sont que des maisons de tôles et de bois où s'entassent les populations.

Nous sommes un peu déçus par cet environnement. Nous espérions trouver ici quelques verdures.

Au Centre d'information touristique on nous indique des campings à une dizaine de kilomètres de la ville mais lorsque nous y arrivons ceux-ci sont fermés ou en vente. Nous cherchons un endroit sur le bord de mer où avec Dominique et Pierre nous nous installons pour l'après-midi et la nuit.

Nous quittons Arica dès le lendemain pour reprendre la direction du sud.

Arica
Arica last Chilean town before the border with the Peru is also surrounded by the Atacama desert. Its Center consists of administrative services and shops. All around, like the other cities of the North is that of sheet metal and wood houses packed populations.
We are a bit disappointed by this environment. We hoped to find here a few Greens.
The tourist information Centre indicates us campsites about 10 kilometers from the city but when we arrive they are closed or for sale. We seek a place on the seafront where with Dominique and Pierre we settle for the afternoon and night.
We leave Arica on the following day to resume the leadership of the South.

Pas un brin d'herbe pendant plus de 1300 kilomètres

Pendant quatre jours nous allons descendre par la Ruta 5 en direction du sud avec l'espoir de quitter le désert. Nous repassons les villes de Iquiqué, Tocopilla puis ce sont Antofagosta, Copiapo et enfin La Serena où de la verdure apparaît.

Les nuits sont passées en bivouac sauvage. C'est souvent plus agréable qu'au camping. Pour ce faire nous nous éloignons dans le désert, cherchant l'abri d'une colline pour nous dissimuler de la route. Les nuits sont belles avec le ciel criblé d'étoiles (aucune pollution lumineuse). Nous pensons à notre ami Jean Guyot, amateur éclairé d'astronomie, qui serait là aux anges pour ses observations.

Not a blade of grass for more than 1300 km
For four days we will go down by Ruta 5 to the South with the hope to leave the desert. We pass the towns of Iquique, Tocopilla and then they are Antofagosta, Copiapo and La Serena where greenery appears.
The nights are spent in wild bivouac. It is often more enjoyable than camping. To do this we move away in the desert, seeking the shelter of a hill to conceal road. The nights are beautiful with the sky riddled stars (no light pollution). We believe our friend Jean Guyot, enlightened amateur astronomy, which would be to the Angels for his observations.

 La Séréna

La Serena c'est la fin du nord ou le début du centre, nous ne savons pas très bien. Nous savons toutefois qu'un autre paysage commence. Nous retrouvons enfin de la verdure. En ville se trouvent des jardins avec de la pelouse. La poussière n'est plus soulevée par le vent ou les véhicules. Les populations semblent plus amènes. De longues plages bordent le Pacifique.

Entre La Serena et Coquimbo nous trouvons un camping qui après négociations nous fait un prix convenable puisque nous avons prévu de rester une à deux semaines.

La Serena étant la capitale de la province de Coquimbo se trouve dotée des administrations mais aussi de nombreux commerces. De grandes surfaces et galeries marchandes offrent tout ce que l'on peut espérer trouver.

 

La Serena

 

La Serena is the northern end or the beginning of the Center, we do not know very well. We know, however, that a different landscape begins. Finally, we find the green. In the city are gardens with lawn. The dust is more raised by wind or vehicles. People seem more taken. Long beaches along the Pacific.

 

Between La Serena and Coquimbo we find a campsite that after negotiations makes us a suitable price since we planned to stay a week or two.

 

La Serena being the capital of the province of Coquimbo lies with Government but also many shops. Supermarkets and shopping malls offer everything what you can hope to find.

Chili 2008 3

Chili 2008 4

 

 

Nous profitons aussi de notre séjour pour visiter la vallée de l'Elqui, qui prend sa source dans la Cordillère des Andes.

Elle est verdoyante et de multiples cultures y sont faites. On y trouve des vignes, des mandariniers, de la polyculture. Les villages abritent, outre les commerces, des artisans, des potiers, des tisserands et autres spécialistes des métaux. Nous regrettons cependant d'y venir hors saison touristiques, de nombreux commerces étant fermés.

We also enjoy our stay to visit the Elqui Valley, which takes its source in the Cordillera of the Andes.
It is green and cultures are made. There are vines, of Evergreen Tangerine groves, of the polyculture. The villages are home, in addition to shops, craftsmen, potters, weavers and other specialists of metals. However, we regret to come off tourist season, many shops are closed.

Chili 2008 5

Chili 2008 6

Chili 2008 7

 

Brrrr. Il fait vraiment froid.

En ce dimanche 15 juin lorsque nous quittons La Serena en direction de Valparaiso nous avons une "purée de poix" pendant une trentaine de kilomètres. Un soleil généreux nous réchauffe ensuite pendant notre descente.

Avant Valparaiso nous cherchons déjà un endroit où nous arrêter pour camper mais tout est fermé. Ayant dépassé le grand port chilien nous essayons de repérer un endroit pour faire un camping sauvage mais toutes les pistes ouvertes se terminent par des dépotoirs sauvages qui nous rebutent. Nous revenons donc sur Valparaiso et c'est sur le parking d'un belvédère que nous décidons de passer la nuit. Notre sécurité n'étant pas assurée nous ne déplions pas le couchage de toit mais dormons tant bien que mal dans la voiture. La température nocturne descendant à trois ou quatre degrés nous avons froid.

Après cette mauvaise nuit nous prenons la route vers Santiago. Là encore, le problème des haltes se pose. Pas de campings d'ouvert, les hôtels bon marché ne disposant pas de garage nous estimons que pour l'instant une visite du centre et du sud du Chili serait plutôt une galère qu'un plaisir. Après avoir sillonné Santiago plusieurs fois de part en part (nous ne pouvons même pas nous arrêter dans le centre ne trouvant pas de parking pour notre engin ou ceux qui existent sont en souterrain à hauteur limitée) nous décidons de retourner en Argentine. Le soir, nous sommes au pied des Andes à Los Andes, nous logeons dans un hôtel ***étoiles dont deux sont au moins usurpées.

Brrrr. It's really cold.
In this Sunday, June 15, when we leave the Serena in the direction of Valparaiso we "pitch mashed" during 30 km. A generous sunlight then warms us during our descent.
Prior to Valparaiso we are already looking for a place where we stop for camping but everything is closed. Having exceeded the Great Chilean port we are trying to locate a place to make a wild camping but all open trails end with wild dumps that turn us off. We therefore return to Valparaiso and is on the parking lot of a lookout that we decide to spend the night. Our security is not guaranteed we unfolds not roof coating but sleep though vainly in the car. The night temperature down to three or four degrees we have cold.
After this bad night we take the road towards Santiago. Here again, the problem of stopping places. No open campgrounds, cheap hotels with no garage we believe that for the time being a tour of the centre and South of the Chile would rather a galley as a pleasure. After having furrowed Santiago several times from side to side (we can even stop in the Center not finding parking for our gear or those that exist are underground with limited height) we decide to return to Argentina. In the evening, we are at the foot of the Andes to Los Andes, we stay in a hotel *** stars two of which are at least spoofed.

Les Andes

En quittant l'hôtel Plaza à Los Andes nous savions que nous devrions monter haut pour passer les montagnes des Andes mais nous ne pensions pas trouver de la neige. A partir de 3000 mètres la neige borde la route. Parfois celle-ci est protégée des avalanches par des tunnels de béton. Les paysages sont magnifiques. Sur le versant chilien les pentes sont abruptes et les lacets nombreux. Les camions roulent presque au pas en montée comme en descente. Ce n'est pas un col qui permet de traverser au plus haut mais le tunnel (del Cristo Redemptor), de plusieurs kilomètres.  La descente vers l'Argentine se fait plus en douceur mais les vues sont aussi très belles.

Les douanes chilienne et Argentine sont groupées. Les formalités sont vite réalisées (sauf qu'il nous faut demander avec insistance auprès des douanes argentine l'établissement du document d'entrée pour notre véhicule).

The Andes
Leaving the hotel Plaza in Los Andes we knew that we should climb high to the mountains of the Andes but we did not think to find snow. From 3000 meters snow along the road. Sometimes it is protected from avalanches by concrete tunnels. The landscapes are magnificent. On the Chilean side the slopes are steep and many laces. Trucks roll almost walking uphill as downhill. This isn't a pass that through to the highest but tunnel (del Cristo Redemptor), several kilometres. The descent to the Argentina becomes more gentle but the views are also very beautiful.
The Chilean Customs and Argentina are grouped. The formalities are quickly realized (except that we must urge the establishment of input for our vehicle document with argentine customs).

Chili 2008 8

Chili 2008 9

Chili 2008 10

 

 

Publicité
Commentaires
Publicité
Publicité